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Ubiqdata 2021 : L’indice du coworking 1/3

Dans : Ubiqdata

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L’Ubiqdata, c’est le nouveau nom de l’Indice du coworking, une démarche unique lancée en 2017 par Bureaux À Partager devenue Ubiq. 

Cette année, Ubiq sort le premier baromètre 360° qui éclaire l’intégralité du marché du bureau : L’indice du coworking mis à jour en ajoutant un instantané de l’offre de bureau extrait et analysé depuis des données open source, bien de chez, nous issues de la plateforme Ubiq et l’analyse des 100 dernières demandes de bureaux traitées chez Ubiq pour comprendre une autre facette du marché et son évolution.

Notre méthodo : chez Ubiq, les données c’est carré ! 

  • 1 étude réalisée du 15 septembre au 31 octobre 2021
  • 1 listing de 2787 espaces de coworking 
  • 33 792 données analysées et une nouvelle base de l’indice à jour en 2021 et interviews des gestionnaires de 540 espaces
  • 3 tendances identifiées et déchiffrées par nos experts

Les datas

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Les Tendances du marché du coworking en 2021

1. Le boom tant attendu.

2787 !
C’est le nombre d’espaces de coworking identifiés en France en 2021. Ce chiffre a encore augmenté de 60% depuis 2019. Cette croissance est surtout portée par des acteurs et des offres de plus en plus structurées sur le marché.

Avec une croissance de plus de 54% de la surface totale portée par les 4 plus gros acteurs, la tendance est bien à la « concentration du marché » et en particulier aux stratégies de développement ambitieuses d’acteurs comme Wework mais aussi par la multiplication de (très) grands espaces à l’image du nouveau site de WOJO ouvert en septembre à Tolbiac (dans le 13ème arr de Paris) de 7 475m².

Alors que le marché a connu un net ralentissement lors de la crise sanitaire, le record de prise à bail par des opérateurs de coworking en 2019 (6 acteurs ont pris à bail 182 000m² en IDF en 2019) a permis de supporter la croissance du nombre d’espaces et du nombre de m² sur les années 2020 et 2021. Ainsi, l’année 2021 n’a pas été en reste du point de vue des ouvertures de sites.


Nous constatons également à Paris l’ouveure de sites de plus en plus grands, proposant des services de plus en plus premium à l’image du Wework boulevard Haussmann (13 400 m²), du prestigieux Kwerk Madeleine (5 500 m²) ou de l’iconique Morning Concorde au cœur de l’Hôtel de la Marine (6 000m²).

2. Du coworking oui, mais des bureaux fermés avant tout

Le poste nomade en open space partagé entre freelance, indépendants et start-up n’est clairement plus la norme du coworking. Au sein des espaces, la sédentarisation continue son chemin : 88% des postes sont à louer dans des bureaux privatifs fermés et 12% des postes seulement sont ouverts à tous en open space. Le modèle économique repose sur la location de bureaux fermés privatifs au mois.

Ces bureaux sont d’ailleurs de plus en plus grands. Alors que dans les grandes villes hors capitale, 70% des offres sont des bureaux privatifs de moins de 5 postes, à Paris, leur taille varie majoritairement entre 2 et 40 postes. Nous notons également une augmentation des offres de 40 à 70 postes; certains grands groupes et scale-up n’hésitant désormais plus à se positionner sur des plateaux entiers de bureaux privés en coworking, de plus de 90 postes.

3. À l’assaut des régions !

Alors qu’à Paris, la concentration fait son chemin sur des espaces plus grands et plus premium, le marché dans les grandes villes de France continue son développement avec succès. En m², l’Île-de-France regroupe 34% des espaces de coworking (vs 35% en 2019) et Paris, avec ses gros espaces en taille, ne représente plus que 18% (vs 23% en 2019) du nombre total d’espaces coworking en France. Nous constatons également une forte croissance du nombre d’espaces de coworking dans les régions élargies de Lyon, Marseille et Bordeaux.

Certains acteurs ont d’ailleurs fait du développement en région leur spécialité à l’image du groupe IWG (349 sites dont 284 en région), Startway (11 sites en région) et de nombreux nouveaux entrants comme Hiptown (5 espaces à Marseille, Lyon, Bordeaux, Lille), Babel (qui prévoit de s’installer à Grenoble, Lille et Bordeaux après Marseille et Montpellier), ou encore Flex-O (3 sites à Lyon, Nantes, Lille ouverts en 2021 et qui prévoit d’ouvrir 50 sites hors IDF à horizon 5 ans).

 

Le cas à la loupe : WOJO


1. Think Global, Act Local

À plusieurs égards, le cas de WOJO est emblématique des évolutions récentes observées sur le marché du coworking en France. Acteur référent avec 14 sites en France d’une surface moyenne de 5 300m² (hors WOJO Corners et Wojo Spots), WOJO mène une stratégie « multi-sites » ambitieuse qui s’enrichit de nouveaux concepts : les WOJO Corners, ces spots locaux opérés au coeur du parc hôtelier Accor qui permettent déjà à WOJO de couvrir plus de 100 villes en France.

Flexibilité, mouvement, tiers-lieux en région sont les clés de WOJO pour s’adapter au marché post Covid. Un pari en passe de se concrétiser dès 2021, avec la première implantation d’un WOJO Corner en gare d’Annemasse, première d’une longue série avec le déploiement d’espaces accolés aux Relay (Gares & Connexion) qui devront offrir un niveau de prestation identique aux coworkings classiques

2. Le bureau, à la carte

La Covid a accéléré la transformation de l’usage du bureau. Travailler de partout, n’importe quand est désormais une norme. Plus que le retour au bureau, le véritable enjeu des entreprises s’appelle la flexibilité et réside surtout dans la flexibilité géographique. Et ça, WOJO l’a bien compris, en proposant aux entreprises d’utiliser le maillage de ses 400 espaces pour proposer aux collaborateurs de trouver un tiers-lieu adapté, près de chez eux ou en déplacement pour travailler

Une flexibilité qui réside aussi dans le modèle d’utilisation des espaces : la consommation à la journée des espaces de coworking est en forte demande et les acteurs du marché s’adaptent. Notamment WOJO et son forfait à la carte à 20€ HT/jour selon la localisation de l’espace en France. Permettre un usage du maillage WOJO pour les collaborateurs d’une entreprise : c’est certainement le nouveau défi des grands groupes mais aussi des PME, TPE et Start-up pour construire des solutions de bureaux adaptées à chaque équipe et chaque collaborateur en mouvement.

3. Le Coworking engagé

IMPACT. C’est le terme de cee année 2021. WOJO l’utilise à plusieurs niveaux dans son développement en créant WOJO for Impact, un foait très exible pour les associations qui cherchent des bureaux. L’idée ? Utiliser les m² des espaces Wojo inutilisés, en sélectionnant des projets à impact positif sur paicipation et en leur proposant un abonnement de 300 €/mois pour accéder à tous les espaces WOJO en open space avec un surclassement en bureaux privatifs selon les disponibilités des sites.

L’occasion de se positionner comme tremplin pour les jeunes pousses ou associations qui innovent pour préparer le monde dans lequel se trouve le bureau de demain.

Chez Ubiq, les données, c’est carré.
Découvrez l’intégralité de l’Ubiqdata 2021, le baromètre qui éclaire l’immobilier de bureau et recevez l’étude par email en entrant vos coordonnées ci-dessous.

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Margaux Beaunez

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